Partir en montagne en voiture électrique avec son vélo dans une remorque fait, à peu de chose près, partie de son quotidien. Il n’a jamais rencontré de difficulté avec la mobilité électrique, au contraire: «Les sorties en montagne avec la Model X, c’est le pied». Témoignage de Markus.
«Un reportage de Jay Leno à propos de la Tesla Roadster a attiré pour la première fois mon attention au sujet de la mobilité électrique. En 2014, j’ai vu la Tesla Model S au Salon de l’auto de Genève et j’ai été immédiatement conquis. Six ans plus tard, j’ai acheté une Model X.
Aujourd’hui encore, je suis très satisfait de ma voiture. Elle est à la pointe de la technologie, même plusieurs années après son achat. Les frais sont plutôt faibles car je ne fais plus le plein d’essence et le réseau de stations de recharge Tesla est d’une qualité inégalée, en particuliers pour les longs trajets.
Markus vit dans le canton de Schwyz (Pfäffikon) et travaille comme gérant de magasin. Passionné de vélo, il se déplace souvent en montagne au volant de sa Tesla Model X, avec jusqu’à 10 vélos dans sa remorque. Il n’a jamais eu de problème d’autonomie.
Partir en montagne avec un vélo dans la remorque? Aucun problème
Je vais souvent en montagne, surtout en Mountain Bike. J’aime aller à Lenzerheide, Davos, St. Moritz ou par le col de l’Ofen dans le Val Venosta – l’Ofen est mon col préféré. Les trajets en montagne avec la Model X sont géniaux. Elle se déplace de manière fluide et a encore des réserves d’autonomie en haut de la montagne. La conduite avec le système One Pedal Drive est tout simplement un plaisir et l’efficacité de la récupération est impressionnante. J’aimais déjà conduire dans des cols, mais avec les performances de Tesla, c’est encore un autre plaisir.
Assez de batterie pour les trajets en montagne, même en hiver
Je ne me soucie jamais de la batterie ou de l’autonomie de ma Tesla. J’insère ma destination dans Google Maps et je pars. La seule chose que je vérifie encore, c’est qu’il est possible de recharger à l’hôtel. En pratique, il me suffit de monter et la batterie se recharge grâce à la récupération à la descente.
En hiver, c’est pareil, même si la puissance de la batterie est plus faible à cause du froid. Je n’ai jamais eu de soucis. J’ai quand même acheté des pneus d’hiver plus petits qui compensent un peu la perte d’autonomie.
«Je n’ai jamais eu de problème à cause de l’autonomie de ma BMW i3, même sur des trajets en montagne.» À découvrir: le témoignage de Raphael
Un avenir en or pour les voitures électriques
Ma prochaine voiture sera aussi électrique. Je pense que, dans 20 ans, nous roulerons toutes et tous à l’électricité. Mais, pour en arriver là, cela me paraît important d’améliorer l’infrastructure de recharge, notamment dans les immeubles d’habitation Nous avons besoin, en Suisse, d’un droit aux stations de recharge. En tant que propriétaire (d’un étage), j’ai pu installer, à mes frais, une borne de recharge. Je connais des gens qui sont locataires et à qui on a interdit l’installation. Et ce, même après avoir proposé d’installer la borne de recharge à leur frais.
« Je ne me soucie jamais de la batterie ou de l’autonomie de ma Tesla. J’insère ma destination dans Google Maps et je pars.» raconte Markus.
La recharge devrait également devenir plus simple au niveau international. Souvent, il faut collecter des informations via plusieurs applications mobiles et les prix varient d’un fournisseur à l’autre. Parfois, on paie même beaucoup trop cher, à moins d’avoir toujours sous la main d’innombrables cartes et apps. C’est assez pénible. À ce sujet, Tesla montre la voie à suivre.»
